Sophrologie et Thérapie ACT au servic​e du traitement de l'endométriose

Accompagnement des personnes souffrant de douleurs liées à l'endométriose

Qu'est ce que l'endométriose​ ? sources EndoFrance

L’endométriose est une maladie complexe qui peut récidiver dans
 certains cas et générer des douleurs chroniques

Avant-propos : Nous souhaitons bien sûr inclure les personnes transgenres. Aussi parlons-nous autant que possible de personnes atteintes ou de personnes menstruées atteintes. Si certaines pages du site n’ont pas été corrigées, veuillez nous en excuser. 

L’endométriose, touche 1 personne menstruée sur 10. Maladie longtemps ignorée, parfois très difficile à vivre au quotidien, l’endométriose se définit comme la présence en dehors de la cavité utérine de tissu semblable à la muqueuse utérine* qui subira, lors de chacun des cycles menstruels ultérieurs, l’influence des modifications hormonales. Si la physiopathologie de l’endométriose n’est pas univoque et fait intervenir de nombreuses hypothèses (métaplasie, induction, métastatique, immunologique, génétique, épigénétique et environnementale, cellules souches…), il est impossible de comprendre cette maladie sans prendre en compte la théorie de la régurgitation dite « théorie de l’implantation ». Lors de la menstruation, sous l’effet des contractions utérines, une partie du sang est régurgité dans les trompes pour arriver dans la cavité abdomino-pelvienne. Cette théorie expliquerait la majorité des atteintes d’endométriose.

Ce sang contient des cellules endométriales, des fragments de muqueuse utérine, qui, au lieu d’être détruits par le système immunitaire, vont s’implanter puis, sous l’effet des stimulations hormonales ultérieures, proliférer sur les organes de voisinage (péritoine, ovaire, trompe, intestin, vessie, uretère, diaphragme…).

L’endométriose est ainsi responsable de douleurs pelviennes invalidantes mais de beaucoup d’autres symptômes en fonction de la localisation des lésions. Dans certains cas, l’endométriose est aussi responsable d’infertilité. Les symptômes ont un impact majeur sur la qualité de vie des personnes atteintes avec un retentissement important sur leur vie personnelle et conjugale mais également professionnelle et sociale.

Extrait de l’introduction du Professeur Charles Chapron dans Les idées reçues sur l’endométriose – Février 2020 – Editions le Cavalier bleu


L’endométriose est une maladie complexe

On a même coutume de dire qu’il n’y a pas une mais “des” endométrioses car cette maladie ne se développe pas de la même façon d’une personne à l’autre… 
Il n’existe pas de certitudes concernant l’endométriose si ce n’est qu’elle revêt différentes formes à différents endroits selon différentes proportions d’une personne à l’autre.
Les médecins se veulent rassurants : dans 1/3 des cas, l’endométriose ne se développe pas, stagne, voire régresse grâce au traitement (médical ou chirurgical) ou de façon spontanée, notamment pour les formes superficielles. 
Cependant, on sait aussi que certaines endométrioses vont évoluer vers des formes sévères dont la prise en charge est complexe et relève de la multidisciplinarité. 
C’est là tout l’intérêt d’un diagnostic le plus précoce possible, pour éviter une potentielle aggravation des symptômes et une détérioration de la qualité de vie.   
Les formes d’endométriose Aujourd’hui on ne classifie plus les endométrioses en « stades » I – II – III – IV. On parle désormais de 3 formes d’endométriose. 
Voici les définitions issues des Recommandations pour la pratique clinique de l’endométriose (RPC endométriose) publiées par la Haute autorité de santé et le Collège national  des gynécologues et obstétriciens de France (CNGOF) en 2017 :– l’endométriose superficielle (ou péritonéale) qui désigne la présence d’implants d’endomètre ectopiques localisés à la surface du péritoine,– l’endométriose ovarienne : l’endométriome ovarien est un kyste de l’ovaire caractérisé par son contenu liquidien couleur chocolat,– l’endométriose pelvienne profonde (ou sous-péritonéale) correspond aux lésions qui s’infiltrent en profondeur à plus de 5 mm sous la surface du péritoine. L’endométriose profonde peut toucher typiquement les ligaments utérosacrés (50 % des cas), le cul-de-sac vaginal postérieur (15 %), l’intestin (20-25 %), représenté majoritairement par la face antérieure du rectum et la jonction recto-sigmoïdienne, la vessie (10 %), les uretères (3 %) et audelà de la cavité pelvienne, le sigmoïde, le côlon droit, l’appendice et l’iléon terminal pour les localisations les plus fréquentes.
Il existe également des formes d’endométriose extra pelvienne (endométriose diaphragmatique et thoracique notamment).Rappelons qu’il n’y a pas de corrélation entre l’intensité de la douleur ou le type d’endométriose et qu’une endométriose superficielle peut être très douloureuse en raison de la présence de nombreux nerfs.
L’endométriose est une maladie bénigne au sens médical du terme, c’est à dire qu’elle n’impacte pas le pronostic vital, mais elle peut être extrêment douloureuse et certaines formes peuvent invalider le quotidien des personnes atteintes et constituer un handicap invisible.

Sources EndoFrance

La sophrologie est une aide précieuse pour la gestion des douleurs de l'endométriose

La sophrologie vous permettra de mieux gérer vos douleurs pendant les crises en travaillant sur la respiration abdominale, à vous former à prendre du recul face à la douleur. 
Elle vous permet de vous repositionner, de vous ancrer, de vous défocaliser de la douleur. La sophrologie vous permettra aussi de prendre conscience que votre corps n’est pas que douleur, que celui-ci est plein de ressources.


 La relaxation dynamique  : par la redécouverte dans des mouvements légers et lents, les postures, les points d’appuis, la tonicité de nos muscles, le travail d’équilibre, nous fait prendre conscience des possibilités que notre corps nous offre encore.

 Des exercices de concentration sur la respiration : pour des spasmes/douleurs, la mise en place d’une respiration abdominale, montrent la possibilité d’agir en toute autonomie, sur une douleur aigüe.Ces techniques nous permettent de nous libérer de tensions inutiles, d’autres nous apaisent et apportent une détente physique et mentale.

 A chaque sophronisation (suggestion mentale via une image), le vécu est différent à chaque fois, sans être dans l’attente de tel ou tel résultat, l’expérience de l’atténuation de la douleur ou la disparition de la douleur incite à renouveler les exercices et à intégrer qu’il y a d’autres possibilités.

Ces muscles tendus, figés par la douleur vont pouvoir récupérer de l’amplitude, de l’élasticité, une porte s’ouvre…Principe d’action positive…
Grâce à la sophrologie, la douleur physique fait place à d’autres sensations et apaise le mental, la crainte de la douleur elle-même s’abaisse, les muscles sont moins figés… si elle revient nous possédons quelques clés pour la déloger.

 Apprendre à maitriser sa capacité de focalisation et de délocalisation lors de crises d’endométriose.
La sophrologie, à travers des techniques de focalisation, permet de modifier l’ampleur de la douleur. Vous pouvez alors l’observer, vous focaliser sur elle, la décrire, la localiser, lui donner une forme, une couleur et peu à peu la remodeler, pour diminuer son intensité afin qu’elle devienne supportable. 

Ou alors, avec d’autres techniques, vous vous délocalisez de la zone douloureuse en vous remémorant un lieu qui vous détende, vous apaise.
 En effet, pendant que votre imagination fonctionne vous produisez des endorphines qui inhibent la libération des influx de la douleur.

Les visualisations positives maintiennent votre attention, le cerveau devient moins réceptif à la douleur. Il est possible aussi d'utiliser nos sens, odeur, goût pour se substituer à la douleur. 

Autre technique, vous pouvez par le mental induire une sensation (exemple : la chaleur),) qui remplace la douleur.

 La sophrologie s’inscrit dans la temporalité. Elle prend en compte le passé, le présent et le futur. Chaque séance intègre les bénéfices dans le quotidien de la personne. Et en plus d’autres techniques permettent de se projeter dans un avenir. 
Se projeter en train de maîtriser la douleur, de la dompter en quelque sorte, peut aider à l’acceptation d’un handicap.La sophrologie peut donc apporter des solutions à la douleur.Elle vous aide à vous dissocier de la douleur, et permet de ne pas s’enfermer.

La pratique de la sophrologie vous donne la possibilité d’être acteur, la prise de recul vous donne la possibilité d’agir et vous permet ainsi d’être plus en harmonie avec vous-même, en acceptant ce qui est, vous pouvez ainsi mieux vivre avec.

 En conclusion la sophrologie, pour les femmes atteintes d‘endométriose ou de douleurs chroniques permet de :

Chasser les tensions,
Installer la détente,
Apaiser la douleur,
Gérer ses douleurs,
Apprendre à gérer les crises, 
Optimiser le métabolisme,
Renforcer la combativité,
Reprendre confiance en soi et en son corps,
Activer la féminité,
Favoriser un meilleur sommeil
Retrouver de l'énergie....


Corinne Kréko, sophrologue Châteauroux Indre
 Centre Val de Loire 
Sophrologie Caycédienne (P. Alfonso Caycedo)

Membre de la Chambre Syndicale de la  Sophrologie,
 je suis tenue au respect absolu du secret professionnel selon le   
CODE DE DÉONTOLOGIE DES SOPHROLOGUES

Adhérent à Sofrocay
Académie Internationale 
de Sophrologie Caycédienne

Votre sophrologue

Pour me joindre

06.38.83.24.55

m.me/111965526996757

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

horaires

Du lundi au samedi de
8h à 20 h

Coordonnées
12 bis rue du Gué 
aux Chevaux
36000 CHATEAUROUX

 
Trouvez votre équilibre intérieur et libérez-vous de vos tensions physiques, mentales et émotionnelles ! 
Venez découvrir le bien-être à travers une consultation de sophrologie et/ou Thérapie ACT dans mon cabinet, à votre domicile et Téléconsultation.
" Je prends soin de moi dès aujourd'hui "

Merci ! Votre message a été envoyé.nt.
Impossible d'envoyer votre message. Veuillez corriger les erreurs, puis réessayer.

Sophrologue Châteauroux Indre Centre Val de Loire
Sophrologie Caycédienne (P. Alfonso Caycedo)